Re: [PO 1/2] Mulhouse BA (Gr. B - 1er) - Caen BC (Gr. A - 4ème) : 1 - 2

[Gogol]

on se décide à prendre les dernières places pour vivre une soirée de folie !

Allez direct à 5min05 pour l'entre-2...
On fait la même?

(quand je pense que la fédé s'offusque pour un avion en papier...)

[Esclave]

C'est bon...les fumigènes ont été livrés !

[Poil de carotte]

on se décide à prendre les dernières places pour vivre une soirée de folie !

Allez direct à 5min05 pour l'entre-2...
On fait la même?

(quand  je pense que la fédé s'offusque pour un avion en papier...)

J'ai pas assez de papier

[Esclave]

itou...il faut que je garde un stock pour Soeurette...
Fin et délicat...

[Aurel2568]

Achtung le Partenaire du Match de ce soir

[Esclave]

Achtung le Partenaire du Match de ce soir

Coulibaly risque de se prendre la balle dans les c..........

[Esclave]

non non...cheveux...

[Esclave]

24 places

[Gogol]

15!

[Hautjura]

Tout n'est pas parfait mais le collectif l'a emporté : bravo.
J'ai trouvé Caen fébrile, l'absence de Bernaoui les handicape. Est-il possible de l'emporter dans l'ambiance du palais des sports caennais ? Serrano doit une revanche et il faudra être performant à 3 points.
Dans ces play off tout est possible. J'y crois.
De l'autre côté Saint Vallier s'en sort une nouvelle fois de justesse.

[Aurel2568]

Bon ben…on l’a fait !!
Le basket c’est un sport d’équipe et ce soir l’équipe a répondu présent et au top en défense !
C’est sûr? Que 10 personnes à Caen Vendredi soir?

[the voice]

Ce n'est pas le nombre qui est important mais l'intensité et l'énergie

[Léon]

Mulhouse est redevenue une forteresse imprenable !!
Bravo pour cette superbe victoire!
Et tout ça sans être excellents et avec un Serrano emprunté, ça présage que du bon pour la suite.
Très belle ambiance ce soir dans un PDS plein à craquer.
Bravo au Kop qui a su embarquer le public!

[68bass]

Tout n'est pas parfait mais le collectif l'a emporté : bravo.
J'ai trouvé Caen fébrile, l'absence de Bernaoui les handicape. Est-il possible de l'emporter dans l'ambiance du palais des sports caennais ? Serrano doit une revanche et il faudra être performant à 3 points.
Dans ces play off tout est possible. J'y crois.
De l'autre côté Saint Vallier s'en sort une nouvelle fois de justesse.

Du coté de SVBD, il faut regarder la fin du match avant les prolongations pour se prouver qu'en basket tout est possible : remonter 3 pts en 3 dixièmes de seconde ! pour moi ,c'est Tarbes la meilleure équipe du final four .

[Choucroute Athletic Club]

Bravo au MBA !
L'équipe a su créer un écart à chaque fois que le CBC revenait.
Et j'ai apprécié le fait que chaque joueur a pu apporter son écot à des instants différents !
Eyango en feu en début de match, d'ailleurs joli coup tactique de LD. Cela a peut être eu une incidence sur le début de match mitigé de Serrano, mais je pense aussi qu'il a été ciblé par Eberlin.
André a eu ensuite un gros impact.
J'ai adoré le passage à la mène de Vincent. Clairvoyant, adroit, propre dans les transmissions.
Au moment critique, Veraghe plante ! Et de quelle manière !
Puis le duo Serrano/Ndiaye qui marche sur le match.  
C'est d'ailleurs le meilleur match de Seydou en tant que meneur. Un spécialiste disait que lorsque Ndiaye sera complètement acclimaté au poste, on comprendra alors la riche idée qu'a eue LD.
Mondesir aurait pu être un peu plus adroit.
Et Minnig a aussi manqué d'adresse et de clairvoyance mais ce dernier a joué intelligemment par séquence, comme pour provoquer des fautes judicieuses.
Durand a aussi été un cran en-dessous. Je pense que son retour fait malgré tout beaucoup de bien sur ce genre de match.

Et que dire de Pouaveyoun ! Le métronome ! Quelle énergie ! Ce joueur est juste incroyable ! Et il met ses lfs ! Il fait une saison extraordinaire ! Il a clairement passer un cap. Bravo !

Eberlin n'arrête pas de râler, il est insupportable. Quand on compare avec Borg, c'est désespérant.

Belle initiative du MBA avec Cerise FM. Et assister à l'ambiance, magnifique hier soir 🤩, lors des TM était sympa

Le speaker a aussi bien joué son rôle. Quand je vois comment le CBC met en valeur le leur....
Le nôtre n'a rien à lui envier !

Pour l'autre demie, le SVBD passe ric rac...ils ont une rotation limitée mais ils possèdent probablement le meilleur joueur de la division avec Ferguson.
Tarbes m'a aussi semblé plus fort... Ils auront la pression vendredi au même titre que le CBC.

Le MBA a une belle cartouche à jouer ce vendredi.
Et si une belle est à jouer, il ne faut pas oublier que la fraîcheur va être un facteur déterminant.
Avec un arbitrage correct, le MBA dispose d'une réelle possibilité pour un exploit là bas !

Imaginez alors le palais en feu que l'on peut obtenir derrière !

[Gogol]

Une bonne habitude!

[Gogol]

Le Mulhouse BA maître en son Palais face à Caen en demi-finale des play-offs
Les joueurs du Mulhouse BA ont démarré les demi-finales des play-offs de Nationale 1 de la meilleure des façons en s’imposant ce vendredi soir au Palais des sports face à Caen après avoir mené durant toute la rencontre (77-67).
Sandrine Pays - 24.05.2024 / L'Alsace

Après avoir éliminé Andrézieux-Bouthéon et Rueil, les joueurs du Mulhouse BA se retrouvent en demi-finales des play-offs de Nationale 1 face à Caen, qu’ils ont accueilli ce vendredi au Palais des sports.

Avec l’objectif de déjouer les pronostics face à un adversaire qui n’a jamais caché son ambition de monter en Pro B à l’issue de la saison, et de contraindre celui-ci à un match d’appui, la semaine prochaine en Normandie.

Les protégés de Lauriane Dolt entament le match sur les chapeaux de roues. Ils font parfaitement bien circuler le ballon et trouvent des solutions pour enchaîner les paniers. Adroits, ils prennent rapidement les devants (7-0 à la 2e, 14-4 et 16-6 à la 4e) face à des visiteurs qui n’ont pas la même réussite, en particulier à trois points.

Mais les hommes de Stéphane Eberlin, privé de deux pièces maîtresses, Mounir Bernaoui et Marc-Eddy Norelia, ne tardent pas à réagir. Ils mettent davantage d’intensité en défense. Le résultat ne se fait pas attendre : l’écart se réduit au fil des minutes. Les Alsaciens ne comptent plus que trois longueurs d’avance à l’issue de ce premier quart-temps (22-19 à la 10e) et plus qu’un seul au début du deuxième (22-21 à la 11e).

Florian Pouaveyoun, comme souvent très efficace sous le panier, et ses coéquipiers vont cependant à nouveau prendre leurs distances à la faveur d’un cinglant 14-1 qui remet les pendules à l’heure (de 22-21 à 36-22 à la 36e). Ils sont à nouveau aux commandes et mènent la vie dure à Parfait Njiba, l’ancien Mulhousien, et les siens. Victor Serrano, qui avait rapidement quitté le terrain lors du premier quart-temps en raison de deux fautes, reprend sa place, marque son premier panier… et retourne quelques instants plus tard sur le banc après avoir écopé d’une troisième faute. A la pause, les joueurs locaux sont toujours devant (43-33 à la 20e).

Une fin de match maîtrisée
Les Mulhousiens ont plus de mal au retour des vestiaires alors que l’ambiance monte d’un cran dans les tribunes d’un Palais des sports plein à craquer et décidé à remplir son rôle de sixième homme. Les Caennais profitent de la moindre des erreurs des Alsaciens, comme ces quelques pertes de balle, et finissent par égaliser (45-45 à la 27e, 47-47 à la 28e).

Mais les Haut-Rhinois font de la résistance et creusent un nouvel écart qui fait du bien au moral grâce à deux tirs longue distance de Lucas Veraghe, l’ancien Caennais, juste avant la fin d’un troisième quart-temps remporté d’un rien par le CBC (55-48 à la 30e).

Le plus dur reste à faire. Les joueurs du MBA doivent encore tenir dix longues minutes. Eux qui jusqu’à présent ont toujours mené au score n’ont pas l’intention de se faire avoir. Ils conservent toute leur lucidité, ne s’affolent pas et gèrent parfaitement la situation. Ils possèdent bientôt à nouveau dix points de plus que les visiteurs (62-52 à la 34e).

Portés par un public qui n’hésite pas à faire un maximum de bruit, ils continuent à faire la course en tête. Eux qui ont concédé leur dernière défaite à domicile face à… Caen le 3 novembre 2023 ont bien l’intention de rester maîtres en leur Palais. Ils vont y arriver dans une fin de match particulièrement tendue, conclue par un dunk rageur de l’incontournable Florian Pouaveyoun (77-67).

Et ce n’est que justice, puisqu’ils ont gardé les commandes du début à la fin. Ils peuvent entamer une petite danse à peine le buzzer final a-t-il retenti, sous les acclamations de leurs supporters. Ils viennent de réaliser une réelle performance face à une équipe de Caen présentée par beaucoup comme la grande favorite de ces play-offs.

________________
La fiche

MULHOUSE BA  77
CAEN BC 67

MULHOUSE. Palais des sports. Quart-temps : 22-19, 21-14 (43-33), 12-15 (55-48), 22-19. Arbitrage de M. Dubois et Mme Pele Le Quilliec. Environ 3500 spectateurs.

MBA : 27 paniers sur 59 tirs (45,8 %), dont 9/23 à 3 points (39,1 %) ; 14/17 LF (92,4 %) ; 44 rebonds (Pouaveyoun 8 ) dont 14 offensifs (Ndiaye 3) et 30 défensifs (Pouaveyoun 7) ; 24 passes décisives (Ndiaye 10) ; 24 pertes de balle (Eyango-Dingo 5) ; 5 interceptions ; 5 contres ; 25 fautes ; éliminés : Veraghe (39e) et Serrano (40e). Les points : Pouaveyoun 13, Ndiaye 10, Vincent 7, Eyango-Dingo 5, Durand 5 puis Ndiaye 10, Veraghe 10, Mondesir 9, Serrano 8. Entr. : L. Dolt, assistée de T. Nerome.

CBC : 23 paniers sur 59 tirs (38 %), dont 4/17 à 3 points (23 %) ; 17/29 LF (58 %) ; 30 rebonds dont 10 offensifs et 20 défensifs (Mutuale et Rojewski 3) ; 13 passes décisives (Siegwarth 4) ; 18 pertes de balle (Coulibaly 6) ; 9 interceptions (Rojewski 3) ; 1 contre ; 24 fautes ; éliminés : Coulibaly (39e). Les points : Jakstas 12, Davis Jr 9, Coulibaly 7, Siegwarth 6, Mutuale 4 puis Rojewski 12, Njiba 10, Bassoumba 4, Blanc 3. Entr. : St. Eberlin, assisté d’E. Béchaud.

[Gogol]

https://actu.fr/normandie/caen_14118/caen-bc-a-mulhouse-pour-une-place-en-finale-stephane-eberlin-jouera-a-la-maison_61099664.html

il pense jouer chez lui !
à nous de prouver le contraire !!

J'espère qu'il a apprécié...
Quelle attitude détestable...

[Gogol]

Basket. Nationale 1 : pour le Caen BC, Alsace rime avec soupe à la grimace
Privé de Mounir Bernaoui, out jusqu’à la fin de saison, maladroit et constamment en réaction, le Caen BC a subi un revers logique sur le parquet de Mulhouse, ce vendredi soir (77-67). Il est dos au mur, dans l’obligation de gagner deux matches au Palais des sports pour rallier la finale.
Ouest-France - Publié le 24/05/2024

Cette semaine, le Caen BC a perdu son plus fidèle soldat et une première bataille, vendredi soir à Mulhouse. Le revoilà dos au mur, mené 1-0 comme face au Havre un mois en arrière. Cette fois, il devra renverser son adversaire sans Mounir Bernaoui, son capitaine, victime d’un arrachement osseux et indisponible jusqu’à la fin de saison.

Un coup dur à encaisser pour l’ailier fort caennais, déjà contraint de déclarer forfait l’an passé au même stade (mollet), et pour son équipe, qui a clairement ressenti son absence en Alsace. Face à Mulhouse, formation en totale confiance dans sa salle (17 succès de rang désormais), Stéphane Eberlin avait enjoint ses hommes à limiter les temps faibles. Et à forcer le MBA à jouer sur demi-terrain.

Deux messages clairement pas entendus. En à peine plus de 120 secondes, Mulhouse avait déjà démontré ses qualités sur jeu rapide (12-2, 2’), obligeant le coach caennais à prendre un premier temps mort. Sur un nuage, les Alsaciens ont inscrit leurs sept premiers tirs avant de logiquement revenir sur terre.

Lucas Veraghe se rappelle au souvenir du Caen BC
Le CBC a recollé une première fois (22-21, 11’) sous l’impulsion d’un Parfait Njiba tranchant. Avant de se tirer une nouvelle balle dans le pied à l’entame du 2e quart-temps. La tornade, qui a pris la forme d’un 14-0 (36-21, 15’), fut encore plus violente. Il y avait trop d’oublis défensifs et trop peu d’allant en attaque. Forcément, l’adresse était redevenue en berne, à l’image de celle de Yann Siegwarth (6 points à 1/9 au tir), passé d’une main bouillante à une main gelée en l’espace d’une semaine.

Attendus dans l’action, les Caennais étaient constamment en réaction. Ils ont regagné les vestiaires avec 10 unités de retard, un moindre mal au regard de la copie qu’ils venaient de rendre. Et sont revenus au contact de leur hôte du soir en fin de 3e quart-temps (45-45, 27’).

Le plus dur semblait avoir été fait, mais ce n’était qu’une illusion. Plombé par les fautes de ses intérieurs et surtout par son indiscipline (18 ballons perdus), le CBC a permis au MBA de reprendre feu. Son bourreau ? Un certain Lucas Veraghe, que les Caennais connaissent pourtant par cœur. En deux possessions, l’ancien arrière du CBC a redonné de l’air à sa formation (55-48, 29’).

Cette fois, le Caen BC ne s’en est pas relevé. Il a été surclassé au rebond (44-30), agaçant aux lancers francs (17/29), en manque de trop de choses. Pour vaincre le signe indien et disputer une première finale de playoffs, Caen devra gagner deux matches au Palais des sports vendredi et dimanche prochains. Le soutien du public caennais sera encore un peu plus déterminant.

[Gogol]

Basket. Loin du compte, Caen subit un coup d'arrêt à Mulhouse
Le Caen Basket Calvados n'a pas passé la moindre seconde en tête, vendredi 24 mai 2024, dans le premier match des demi-finales des playoffs à Mulhouse (77-67).
Par Aline Chatel / SportACaen.fr / Publié le 24 mai 2024 à 22h11

Il faudra gagner au Palais des Sports, vendredi 31 mai 2024, pour rester en vie. Le Caen Basket Calvados est dos au mur après sa défaite à Mulhouse, ce vendredi 24 mai 2024, en match aller des demi-finales des playoffs de Nationale 1 (77-67). Privé de son capitaine Mounir Bernaoui, blessé au pied à l’entraînement, Caen est passé à côté de sa première mi-temps et n’a pas redressé suffisamment la barre au retour des vestiaires. Les Caennais ont été trop brouillons et trop peu appliqués pour rivaliser avec une séduisante formation alsacienne.

Une première mi-temps à l’envers
Les Caennais avaient eu à peu près tout faux en première mi-temps et les dix points de débours enregistrés à la pause paraissaient bien payés. Caen était bien incapable de stopper l’euphorie mulhousienne et d’empêcher la balle de circuler. L’intensité défensive réclamée par leur entraîneur était aussi absente que l’agressivité offensive tout autant demandée.

Le 7-0 inscrit d’emblée dans le secteur intérieur avait donné le ton. Malgré la tentative de réaction de Rolandas Jakstas, très vite pénalisé par trois fautes, Caen restait à distance d’un adversaire extrêmement adroit. Parfait Njiba et Antoine Rojewski avaient ramené Caen à proximité (22-19, 10′), mais les manquements défensifs des visiteurs étaient sanctionnés. Offensivement, la balle ne circulait pas dans les rangs caennais et les individualités étaient à la peine, à l’image de Yann Siegwarth, si performant la semaine précédente (28 points).

Un trois-points qui coince encore
Après quinze minutes de jeu, Caen affichait un retard de quinze points (36-21). Il n’y avait pas photo entre les deux formations. Dans le mauvais tempo, les Normands affichaient une adresse encore famélique (0/8 à trois-points en première mi-temps, 33 % de réussite au tir). Les quelques erreurs alsaciennes permettaient de limiter l’écart. Parfait Njiba ramenait Caen à dix points juste avant la mi-temps (43-33, 20′).

Plus de dureté dans le troisième quart
Le CBC a réagi dès la reprise du jeu avec bien plus d’intentions défensives et, comme par hasard, plus d’adresse également. Quand le banc caennais s’est levé pour célébrer un ballon récupéré en fin de possession adverse, Wendell Davis a débloqué la colonne des trois-points après dix échecs collectifs (46-42, 25′). Les Caennais semblaient relancés jusqu’à l’égalisation d’Earvine Bassoumba (46-46, 27′). Mais l’équilibre était fragile et Lucas Veraghe attendait son heure pour jouer un mauvais tour à son ancienne équipe.

Les deux tirs primés de l’ailier dans la dernière minute du troisième quart ramenaient Mulhouse devant (55-48, 30′). Les shooteurs mulhousiens rappelaient leur capacité à enflammer les débats, à l’image de Benjamin Mondésir (60-52, 33′). Victor Serrano, longtemps en difficulté, prouvait quant à lui la bonne alternance du MBA (64-55, 34′). Antoine Rojewski avait beau tenter de surnager (68-62, 36′), Caen n’était définitivement pas dans un grand soir.

Caen catastrophique aux lancers
Seydou Ndiaye répondait aussi vite au Caennais et les visiteurs s’embourbaient dans leurs approximations, criantes aux lancers-francs. Les onze points lâchés dans ce secteur étaient fatals (17/28). Mulhouse n’était pas exempt de déchet (24 ballons perdus) mais sa volonté compensait les erreurs techniques. Le MBA terminera avec treize rebonds captés de plus que le CBC. L’interminable fin de match ne changeait rien, malgré le trois-points de Yann Siegwarth qui illustrait le refus d’abdiquer des Calvadosiens (73-67, 40′). Sans succès.

Mulhouse empoche une 17ème victoire de suite à domicile. Caen subit un coup d’arrêt après quatre succès consécutifs en playoffs. Il lui faudra présenter un autre visage devant son public au match retour pour espérer une belle, dimanche 2 juin 2024.

[Gogol]

Caen BC. Stéphane Eberlin : « On n’a pas fait le match qu’on voulait faire »
Revoilà le Caen BC dos au mur. Comme lors de leur huitième face au Havre, les Caennais ont perdu le match 1 de leur demi-finale de playoffs à Mulhouse (77-67), ce vendredi 24 mai. Privés de leur capitaine Mounir Bernaoui jusqu’à la fin de la saison (arrachement osseux), les hommes de Stéphane Eberlin sont donc condamnés à gagner leurs deux prochains matches au Palais s’ils veulent éviter d’échouer aux portes de la finale. Découvrez la première réaction de l’entraîneur normand.[/b]
Valentin PINEAU / Publié le 25/05/2024 / Ouest France

Stéphane Eberlin (entraîneur du Caen BC) : « On est bien sûr déçus par le résultat. On savait que ce ne serait pas facile ici, où Mulhouse n’a perdu que trois fois mais on est déçu parce qu’on n’a pas fait le match qu’on voulait faire. On a manqué de calme et de sérénité. On a fait beaucoup de mauvais choix et on a été beaucoup frustré par les décisions arbitrales. On a manqué de sang-froid.

On a commencé par encaisser un 12-2. On a réussi à revenir. Dans le deuxième quart-temps, on est reparti en prenant un autre éclat, on a perdu deux ou trois rebonds qu’on n’aurait jamais dû perdre. On est à égalité à la fin du troisième et à -7 dans le money-time. On a loupé beaucoup de lancers francs à la fin du match et deux paniers tout cuits qui nous auraient permis de jouer la gagne jusqu’au bout. En attaque, on perd 18 ballons, on fait des choix forcés de tirs… Malgré le fait qu’on ne fait pas un bon match, on reste dans le coup jusqu’à trois minutes de la fin. Il y a quand même beaucoup d’espoirs pour vendredi prochain, beaucoup de choses à retirer de cette rencontre pour mieux aborder le match 2. On a perdu la première manche, il en reste d’autres.

L’absence de Mounir Bernaoui pèse forcément, même si ce n’est pas une excuse car on a beaucoup de joueurs qui peuvent compenser. Là où on l’a le plus ressenti, c’est au rebond. On a été dominé dans ce secteur de jeu, ce n’est pas faute d’avoir prévenu avant le match, chacun devait en faire un peu plus. Il y a beaucoup de rebonds longs qu’on n’a pas pris. On a laissé trop de deuxièmes chances, on perd 14 rebonds défensifs, c’est beaucoup trop.

La formule veut que l’on joue à l’extérieur le premier match malgré l’avantage du terrain. Maintenant, on joue chez nous vendredi, à nous de faire le boulot. Il ne faut pas avoir la tête baissée mais avoir confiance en l’équipe. On sait que le Palais va être à fond derrière nous. On va faire un gros match pour égaliser.

Est-ce que Marc-Eddy (Norelia) sera de retour pour le match 2 ? Peut-être.
Est-ce que le précédent Le Havre rassure ? Ce n’est pas une question de rassurer. C’est la formule qui veut ça, elle n’est pas logique. On sait que si on perd le premier match à l’extérieur, on est sous pression. Maintenant, on joue chez nous. On sait qu’il faut gagner le premier match vendredi pour avoir une belle, où l’avantage du terrain sera enfin valable. Il faut se concentrer d’abord sur le match 2, tirer les conséquences de cette défaite et leur rentrer dans la gueule vendredi car même dans l’impact, on a été trop gentils par moments. Pour moi, les rebonds, ce n’est qu’une question d’agressivité. S’ils en ont pris plus que nous, c’est qu’ils étaient plus agressifs. À nous de corriger ça et de revenir le couteau entre les dents. Il faut réagir et garder confiance. On a toujours dit que le Palais devait être imprenable, il faut le montrer. Mulhouse sait aussi que ce ne sera pas facile de gagner chez nous. À nous de faire tout ce qu’il faut pour. »

[Gogol]

Basket. "Pas bon" mais "pas loin", Caen reste confiant face à Mulhouse
Stéphane Eberlin adoptait un discours résolument confiant après la défaite du Caen BC à Mulhouse, vendredi 24 mai 2024, en demi-finale aller des playoffs de Nationale 1 (77-67).
Par Aline Chatel / Publié le 25 mai 2024 à 10h02 / SportACaen.fr

De retour à la maison pour affronter le club qu’il supportait étant gamin, et dans lequel il a connu un titre de champion de France minime, Stéphane Eberlin avait espéré un tout autre scénario que celui qui s’est joué, vendredi 24 mai 2024. Le Caen Basket Calvados a perdu la première manche des demi-finales en Alsace sans avoir passé une seule seconde de la rencontre en tête (77-67). « Je suis déçu par le résultat, mais on n’a pas fait le match qu’il fallait pour gagner, retient l’entraîneur caennais. On n’a pas fait un bon match. Malgré ça, on est dans le coup. »

« Trop de fébrilité »
Très convaincants lors de leurs quatre précédents matchs, contre Le Havre et Tours, les Caennais ont manqué de tout chez une équipe qui compte désormais 17 victoires de suite chez elle. « On a manqué de sang-froid, estime Stéphane Eberlin en premier lieu. On s’est beaucoup énervé contre l’arbitre. La frustration a occasionné des mauvais choix offensifs. On perd 18 ballons, c’est trop. » Quand le CBC a recollé, à la faveur d’un troisième quart-temps que son coach a apprécié, d’autres lacunes ont jailli.

Il y a trop de fébrilité. Quand tu as six ou sept points de retard dans le dernier quart-temps, tu ne peux pas faire 2/9 aux lancers-francs. Ce n’est pas possible.

Stéphane Eberlin, le ton posé, note aussi les « ballons qui traînent qu’on ne ramasse pas » et, bien sûr, les 14 rebonds de déficit par rapport à Mulhouse. « On savait qu’on allait être handicapés sans notre meilleur rebondeur, Mounir. Mais on a trop souffert au rebond. »

L’absence de Mounir Bernaoui, blessé au pied et out jusqu’à la fin de la saison, Stéphane Eberlin ne veut pas en faire une excuse. Ni une crainte. « Malgré tout ce qu’on loupe, on est encore dans le match. Cela me donne beaucoup d’espoir pour vendredi (31 mai). »

Avec Norelia au match retour ?
Le discours se veut résolument positif. « À nous de corriger ce qu’il faut corriger et de leur rentrer dans la gueule. Gagner à Mulhouse, ce n’est pas facile. Gagner chez nous, ça ne va pas être facile non plus. Il faut emmener le palais et en faire un volcan. » Stéphane Eberlin martèle son discours.

Il n’y a pas de raison de douter. On pouvait douter après Le Havre, où on en avait pris 25 sans exister. On avait baissé les bras. Ça n’a pas été le cas à Mulhouse. On a existé en n’étant pas bons. J’ai grande confiance en l’équipe, je ne suis pas inquiet.

Les Normands vont devoir être « moins gentils » et imposer beaucoup plus de dureté. Avec Marc-Eddy Norelia à la manœuvre ? L’Haïtien a repris l’entraînement sans contact. Il réintègrera le groupe lundi 27 mai. « On verra comment il sera, quel rythme il aura. Je ferai alors un choix entre lui et Rolandas (Jakstas). » Caen sera dans l’obligation de battre Mulhouse lors de ce match retour pour s’offrir une belle, deux jours plus tard, toujours à domicile.

[soeurette]

la blague !
"On s’est beaucoup énervé contre l’arbitre"
il pourrait dire ''je" !
il a été se plaindre au superviseur à la table à la fin du match, disant que la défaite de Caen est de la faute des arbitres !!

"À nous de corriger ce qu’il faut corriger et de leur rentrer dans la gueule"
ça promet !!

[Gogol]

la blague !
"On s’est beaucoup énervé contre l’arbitre"
il pourrait dire ''je" !
il a été se plaindre au superviseur à la table à la fin du match, disant que la défaite de Caen est de la faute des arbitres !!

"À nous de corriger ce qu’il faut corriger et de leur rentrer dans la gueule"
ça promet !!

Et il a pris longuement la tête aux arbitres juste après le match, quand les nôtres célébraient la victoire dans le rond central...

[Gogol]

la blague !
"On s’est beaucoup énervé contre l’arbitre"
il pourrait dire ''je" !
il a été se plaindre au superviseur à la table à la fin du match, disant que la défaite de Caen est de la faute des arbitres !!

"À nous de corriger ce qu’il faut corriger et de leur rentrer dans la gueule"
ça promet !!

CAEN BC :


MBA :

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