[J.05] FC MULHOUSE - Get Vosges : 59 - 64

[Gogol]

Pas le temps de revâsser, la J05 se poursuit dès demain...

13/10/2015 - 15h
CENTRE FEDERAL BB - UJAP QUIMPER : 43 - 91
Je viens de découvrir que ce match a déjà été joué!
On peut se poser la question de l'équité sportive en terme de recup sur le fait d'avancer un match prévu un mardi...


20/10/2015 - 20h
SORGUES AVIGNON PONTET VAUCLUSE - RUEIL ATHLETIC CLUB
Un début de championnat comparable à celui du FCM pour le SAP.
Ca va être dur contre le RAC...

JSA BORDEAUX BASKET - UNION TARBES LOURDES PYRENEES BASKET
Je pense que Tarbes va connaitre sa premiere defaite dans le derby du Sud-Ouest vu depuis le Nord-Est.

SAINT VALLIER BASKET DROME - AIX MAURIENNE S B
Match très indécis pour lequel je ne me risquerai pas.

CAEN BASKET CALVADOS - VITRE AURORE
BERCK/RANG DU FLIERS - ANGERS ABC
Le même commentaire pour les 2 matches.
Apprentissage de N1 plus difficile que prévu pour les deux promus.
Match compliqué en perspective!

UB CHARTRES METROPOLE - ADA BLOIS BASKET 41
Blois craint ce match.
Chartres a mal commencé de facon assez incomprensible puisque le groupe a peu changé...


20/10/2015 - 20h30
VENDEE CHALLANS BASKET - LA ROCHELLE RUPELLA 17
Derby de l'Atlantique vu depuis le Nord-Est.
Challans!


21/10/2015 - 20h
FC MULHOUSE BASKET - GET VOSGES
Le veritable derby de cette journée!
FCM, pas le choix pour continuer avec le tableau de marche prévu!

[ganesh]

Le derby de l'est est notre"classico"
Venez nombreux au palais des sports mercredi afin d'encourager notre équipe qui se bat comme des fous pour nos couleurs!!
Allez mulhouse tes supporters seront la!!!
(Et les autres aussi )

[Esclave]

gogol , Aurore Vitré n'est pas un relégué, mais un promu

[Gogol]

gogol , Aurore Vitré n'est pas un relégué, mais un promu

Oui, c'est juste...
J'aurais du dire pour les promus qui recoivent...
Ca reste compliqué pour Caen, vu que Vitré est premier du classement extérieur (2/2)

[Gogol]

Remember last year!

[manyago66]

Cool de voir Thibaut buvant à "la régalade" !!

[The Clown]

De beaux souvenirs en revoyant ce beau reportage.
Allez, en route pour en revivre de beaux ce soir !

[Gogol]

Un GET pour redécoller
Le FC Mulhouse, privé d’Anthony Brown et sans doute aussi de Jonathan Godin, accueille GET Vosges, ce soir (20 h) au Palais des sports, pour un derby de l’Est à la saveur toujours particulière. L’équipe de Jamel Benabid, qui reste sur deux défaites, ne doit pas rater le coche face à un adversaire direct.
par Sandrine Pays, LAlsace.fr

Jamel Benabid a beau répéter que tous les matches se valent et ont leur importance, ceux qui opposent le FC Mulhouse à GET Vosges sortent malgré tout souvent de l’ordinaire. « Ils sont à part parce qu’il s’agit de derbies, avec tout ce que cela sous-entend. Chaque équipe, indépendamment du classement, veut prendre le dessus sur l’autre pour assurer sa suprématie dans le coin » , reconnaît l’entraîneur alsacien.

Les joueurs ont beau changer, la rivalité, elle, reste la même sur le terrain, les deux clubs entretenant par ailleurs d’excellentes relations. « Nous échangeons souvent des informations et nos impressions » , note Laurent Mathis, le coach de GET Vosges. « Même si je me renseigne sur tout le monde, je connais toujours beaucoup mieux le FCM que n’importe quelle autre formation de N1 ! » Les deux adversaires, qui se retrouvent ce soir (20 h) au Palais des sports pour leur première rencontre officielle de la saison après deux matches amicaux (le premier remporté 75-59 à Épinal par GET Vosges, qui a depuis modifié son effectif, le second gagné 73-69 à Kingersheim par le FCM), sont sur un pied d’égalité avec deux victoires chacun en quatre matches. « Si le FCM venait à perdre, il se retrouverait dans une position délicate avant son déplacement à Quimper samedi » , estime Laurent Mathis, qui, de son côté, aimerait bien confirmer les succès à Bordeaux et face au Centre fédéral, mais aussi effacer pour de bon la défaite concédée au SAP Vaucluse, « un concurrent direct ».

Motivation identique des deux côtés
Les Mulhousiens, toujours privés d’Anthony Brown, le seront sans doute aussi de Jonathan Godin. Ils devront donc se surpasser, comme ils l’ont fait face à Angers et à Vitré, pour venir à bout de Vosgiens disposant d’une équipe « très bien construite et à la densité physique impressionnante, qui joue par ailleurs beaucoup sur l’alternance défensive » , selon Jamel Benabid. Celui-ci s’attend à un match « particulièrement musclé ». « Ils sont dangereux à tous les postes » , poursuit-il, en reconnaissant que « la profondeur du banc » pourrait faire toute la différence ce mercredi soir, « la motivation, elle, étant la même des deux côtés ».

Contrairement au FCM, qui tourne avec dix joueurs, GET Vosges, toujours très actif sur le marché des transferts, dispose d’un effectif de douze joueurs - le dernier à avoir signé, au début du mois, n’est autre que l’intérieur serbe Slobodan Ocokoljic, libéré par le FCM qui n’avait pas les moyens de le conserver et opérationnel depuis le match à Bordeaux. Même s’ils ont perdu plusieurs valeurs sûres (Jérémie Douillet, Babacar Diouf ou encore Raphaël Wilson), les Spinaliens, onzièmes la saison passée avec 16 victoires et 18 défaites, visent le maintien, « voire les play-offs », comme le confie un Laurent Mathis habitué à donner leur chance aux jeunes. « Je n’ai pas de star dans le groupe. J’essaye de faire des petits coups, en misant sur des joueurs de qualité qui n’ont pas toujours eu la possibilité de s’exprimer pleinement, notamment parce qu’ils ont été blessés. »

Face à des visiteurs aux dents longues et sans complexe, les Mulhousiens n’auront pas la partie facile. Pour se mettre du baume au cœur, ils peuvent cependant, comme l’a fait leur entraîneur, se pencher sur les résultats des quatre dernières saisons. « En N2 et en N1, nous avons toujours eu le dernier mot en championnat » , relève Jamel Benabid. « Et j’avoue que j’aimerais bien que ça continue ! »

LES ÉQUIPES

FCM : 4. Njiba, 6. Mendy, 7. Bichard, 9. Wembo, 10. Godin ou Chambre, 11. Vinson, 13. Bigote, 14. Benkloua, 15. Gitta, 16. Montabord. Entraîneur : Jamel Benabid.

GET Vosges : 5. Mpoy, 6. John, 8. Hergott, 9. Ricard, 10. Ocokoljic, 11. Marinkovic, 12. Borval, 13. Solle, 14. Pontens 15. Tresnak. Entraîneur : Laurent Mathis.

[Gogol]

Jonathan Godin incertain
LAlsace.fr

Si l’intérieur américain Anthony Brown, handicapé par une hernie discale, n’est pas près de retrouver la compétition, Jonathan Godin, victime d’une entorse à la cheville droite depuis le déplacement à Vitré, va peut-être devoir encore patienter un peu avant de rejoindre ses coéquipiers sur le terrain. « Il a fait un essai lundi soir à l’entraînement, mais il n’était pas au mieux » , note Jamel Benabid, l’entraîneur du FCM. « Je ne sais vraiment pas s’il pourra tenir sa place face aux Spinaliens. »

Laurent Mathis, de son côté, n’était pas sûr, hier, de pouvoir compter sur Loïc Gigant et envisageait, le cas échéant, de le remplacer par Steven Ricard comme il l’a fait lors des deux derniers matches. L’ailier lorrain, l’un des trois rescapés du précédent effectif avec l’arrière serbe Nemanja Marinkovic et le pivot David Acker (blessé et indisponible pour un moment au même titre que l’autre Alsacien de GET Vosges, Arnaud Imhoff, remplacé par Charly Pontens), souffre de douleurs au dos.

[Gogol]

« Si le FCM venait à perdre, il se retrouverait dans une position délicate avant son déplacement à Quimper samedi »

Coach Mathis cherche à mettre la pression sur le FCM, c'est de bonne guerre.
Mais si le GET perd, ca leur fera 2 défaites contre des concurrents au maitien (SAP et nous)... Pas anodin non plus!

Contrairement au FCM, qui tourne avec dix joueurs[...]

Les conneries qu'il ne faut pas lire!
C'est pas possible Sandrine, tu le fais expres!
Quand je pense que le Hand se plaint ou se fait plaindre à longueur d'articles sur son manque de moyen dans ton canard...
Faudrait songer à retablir tres rapidement l'équité!
Sans déconner!

(Et tt cela sans manquer de respect aux jeunes ou au pigiste qui filent un coup de main à la 1... bien au contraire!)

[Gogol]

(Le match, vu depuis l'autre côté de la ligne bleue...)

BASKET : LE GET VOSGES VISE UNE VICTOIRE À MULHOUSE POUR BASCULER DU BON CÔTÉ
Entre le déplacement de ce soir à Mulhouse et la venue de Chartres samedi, le GET Vosges va avoir la possibilité d’entretenir sa série de succès en cours. Cela peut aussi lui permettre de rester en haut de tableau.
VosgesMatin.fr

Certes, il ne s’agira ce soir que de la cinquième levée. Cependant, ce rendez-vous entre Mulhouse et le GET Vosges s’apparente déjà à un petit tournant entre deux rivaux au rendement similaire (2 victoires pour 2 défaites) et qui se sont installés dans la première partie du tableau.Au-delà de cette donnée chiffrée, ce qui obnubile surtout Laurent Mathis, l’entraîneur du GET Vosges, c’est de continuer la série victorieuse entamée à Bordeaux et consolidée par le facile succès acquis face au Centre Fédéral.

Sans faire injure à la classe biberon du basket français, il en sera certainement tout autrement ce soir à Mulhouse. Très proches géographiquement mais aussi en ce qui concerne les liens tissés entre elles, les deux formations n’ont plus vraiment de secret l’une pour l’autre : « J’ai beaucoup d’estime et d’amitié pour Laurent (Mathis). On bosse souvent en étroite collaboration. On s’appelle souvent et on se donne des tuyaux sur les équipes que l’on rencontre », reconnaît Jean-Pierre Zuttion, le coach-adjoint de Mulhouse.Même si les relations sont cordiales en dehors, la bataille fera sûrement rage sur le parquet alsacien car l’enjeu n’est pas anodin. Chaque victoire potentielle face à un adversaire qui est censé nourrir des ambitions identiques vaudra son pesant d’or.

D’autant plus dans cet exercice où la hiérarchie pourrait tarder à s’affirmer de manière concrète : « Après notre match perdu à la maison contre Avignon/Sorgues, j’avais dit que l’on devait aller chercher deux victoires à l’extérieur face à des équipes qui vont plutôt jouer le maintien. J’ai envie de continuer cette série cette semaine contre Mulhouse et Chartres qui n’a déjà plus d’autre choix que de gagner », annonce Laurent Mathis. Après la gentillette recréation du Centre Fédéral, il sera indispensable de s’en remettre aux bases. Notamment sur le plan défensif où il faudra limiter les possibilités mulhousiennes d’alimenter la marque.« On a pris le pari d’avoir une équipe homogène »L’autre facteur qui pourrait faire pencher la balance, c’est la profondeur de banc.

Si Loïc Gigant est rétabli, il ne sera pas du plus court déplacement de la saison. Par précaution mais aussi par choix délibéré de la part de Laurent Mathis qui entend faire parler la concurrence. Lui aussi en proie à des problèmes physiques la semaine passée, Steven Ricard sera en revanche bien présent. Cette multiplication des solutions par rapport à un opposant qui ne peut pas en dire autant pourrait avoir son importance. Surtout dans cette semaine à trois matchs.

Dans ce cadre, la victoire de vendredi n’a pas nécessité de dépenser trop d’énergie. Ce ne sera peut-être pas innocent face à des Mulhousiens limités et diminués : « Nous, on a pris le pari d’avoir une équipe homogène avec onze joueurs et de pouvoir mettre de l’intensité », remarque Laurent Mathis.Et puis, le GET Vosges compte aussi s’appuyer sur le capital confiance qui ne cesse d’enfler au sein d’un ensemble enfin en configuration définitive : « Je savais que nous allions démarrer en étant encore en préparation en décalant un peu notre mise en place. Je savais aussi que c’était un risque même si je pense que le match contre Sorgues, nous aurions dû le gagner. Les joueurs et moi, nous avons fait une grosse bourde. On avait fait aussi le choix d’attendre et de se dire qu’en attendant un peu, il resterait des bons joueurs sur le carreau. C’est ce que l’on a fait avec Slobodan (Ocokoljic). On monte en puissance et je préfère avoir fait comme ça », analyse Laurent Mathis.Dans ce long marathon de 34 étapes, ce n’est peut-être pas une mauvaise stratégie.

Mulhouse : Njiba (1,99 m, 25 ans) ; Mendy (1,94 m, 27 ans) ; Bichard (1,87 m, 25 ans) ; Vinson (2,01 m, 30 ans, USA) ; Bigote (1,90 m, 31 ans) ; Benkloua (23 ans, 2,05 m) ; Gitta (1,90 m, 39 ans) ; Montabord (37 ans, 2,04 m).Entraîneur : Jamel Benabid.

GET Vosges : John (1,87 m, 22 ans), Pontens (1,90 m, 21 ans), Mpoy (1,96 m, 28 ans), Hergott (2,02 m, 26 ans), Ricard (2 m, 25 ans), Marinkovic (1,86 m, 27 ans, SER), Borval (2,01 m, 28 ans), Tresnak (2,08 m, 23 ans, USA), Solle (2,07 m, 23 ans), Ocokoljic (2,05 m, 35 ans, SER).Entraîneur : Laurent Mathis.

[Gogol]

Vous l'avez tous entendu à la radio ce matin...
Nous sommes le fameux 21 Octobre 2015, celui la-même que Marti et le Doc (tiens, tiens) visitent dans Retour vers le Futur II



Alors ce soir pour le Derby, nous aurons aussi besoin de notre retour vers le Futur!!!



Tous au Palais pour y mettre le feu!

[Gogol]

Le FCM passe à côté
Auteur d’une entame de match catastrophique, le FC Mulhouse n’a jamais été en mesure de contrer GET Vosges, hier soir au Palais des sports, et a concédé une troisième défaite d’affilée en Nationale 1 (59-64).
par Sandrine Pays, LAlsace.fr

Les Mulhousiens n’ont mené qu’une seule fois, hier soir, au Palais des sports, face à GET Vosges : au retour des vestiaires, grâce à un panier à deux points de Jérémy Bichard (27-26 à la 21e ).

À ce moment-là, ils pouvaient encore espérer avoir le dernier mot sur leurs terres et renouer ainsi avec la victoire après les défaites concédées face à Aix-Maurienne puis à Blois. Mais ils n’ont pas réussi dans leur entreprise. Eux qui, ces quatre dernières saisons, avaient pourtant toujours battu les Spinaliens en championnat, en N2 comme en N1, ont cette fois cédé face à des adversaires d’autant plus dangereux qu’ils font partie de leurs concurrents directs dans la course au maintien.

Toujours privés d’Anthony Brown et de Jonathan Godin, blessés, les joueurs locaux ont totalement raté leur entame de match et vécu dix minutes cauchemardesques. Aux abonnés absents des deux côtés du terrain, ils ne peuvent que constater les dégâts, incapables de stopper des visiteurs euphoriques. À leur tête, Nemanja Marinkovic, le sniper serbe, qui finira meilleur marqueur de la soirée, est déjà à l’œuvre (0-9 à la 4e ). D’ores et déjà sous pression et contraints de courir après le score, les protégés de Jamel Benabid n’arrivent pas à trouver leurs marques (4-19 à la 8e , plus gros écart du match). Ils devront se contenter de deux malheureux paniers (2/13 à 15 % dont 0/4 à trois points) et de cinq lancers francs durant ce quart-temps. En face, les Spinaliens sont un peu plus réalistes (8/21 à 38 %) et maîtrisent les débats, notamment au rebond (10 contre 15).

Mais les joueurs du FCM ont déjà prouvé qu’ils sont capables de se sortir d’un mauvais pas. Sans s’affoler, ils reprennent leurs esprits, resserrent les rangs et s’appuient davantage sur leur collectif. Résultat : c’est à leur tour de poser de sérieux problèmes à des adversaires moins sereins et contraints de ronger leur frein en attaque (3/14 à 22 %) - ils ne marqueront qu’un lancer franc au cours des cinq dernières minutes de ce deuxième quart-temps (13-25 à la 15e , 22-26 à la 18e ). Les Mulhousiens, eux, sont à l’affût, prêts à inverser la tendance, même s’ils manquent toujours cruellement d’adresse à trois points (0/12 en 20 minutes).

Ocokoljic, bourreau du FCM
Et ils donnent effectivement l’impression qu’ils vont y arriver. Mais les joueurs de Laurent Mathis, toujours privé de Loïc Gigant, blessé, ne s’en laissent pas compter. Emmenés par un Nemanja Marinkovic décidément en pleine forme (8 points dans ce troisième quart-temps), de retour sur le terrain après avoir passé le deuxième acte sur le banc, ils reprennent les devants et creusent un nouvel écart qui, sans être conséquent, montre bien qu’ils ont la mainmise sur le match (33-43 à la 29e , 35-45 à la 30e ). Les Alsaciens, toujours aussi peu efficaces en attaque (11/49 à 22 % à la 30e ), en particulier et comme précédemment dans leurs tirs longue distance (0/16 en 30 minutes), ne sont que l’ombre d’eux-mêmes.

Finalement, même s’ils ne baissent pas les bras, ils ne parviendront pas, cette fois, à battre leurs éternels rivaux. Revenus à quatre longueurs (50-54 à la 37e ), alors que Mathieu Gitta vient de marquer le premier - et seul - panier à trois points de son équipe, ils perdent à nouveau du terrain. Ironie du sort : assez discret jusqu’alors, Slobodan Ocokoljic, l’intérieur serbe libéré par le FCM (qui n’avait pas les moyens de le conserver), va faire voler en éclats tous leurs espoirs en marquant huit points en une minute (50-54 à la 37e , 52-62 à la 38e ). Les Mulhousiens ne s’en relèveront pas.

[Gogol]

Il n’y a pas grand’chose à retenir de ce match, relevons tt de même qques points livrés en vrac:

• Pas mal de monde au Palais, dommage que le match n’ait pas été à la hauteur… Ni le score, ni le contenu…
  
• Une telle entame (0-9, puis 9-19 à la fin du Q1) accompagnée d’un aussi laid que jamais vu 1/19 (la seule réussite est à mettre au crédit de GitMat) à 3 points ressemble à s’y méprendre à un suicide collectif, et on peut se dire que le FCM a perdu son match tout seul !
  
• A l’intérieur, Mourad n’a pas eu son rendement habituel à cause de 2 fautes rapides. A propos de faute, le gag de la soirée c’est celle sifflée contre BigMat, quand un vosgien lui rampe entre les jambes par derrière suite à une action confuse !
  
• Mr Double-Double (Vinson) est de retour… 13 points 12 rebonds… Mais on ne voit jamais quand ! On va finir par le surnommer Nighthawk comme le F-117 ou The Ninja !
  
• La fin du match ? Comme au Cluedo… Ocokoljic, avec un poignard (dans le dos), sur le parquet dans la bibliothèque.
  
• Le Kop ? Aussi mauvais que son équipe en début de match, après c’était mieux.
  
• Malgré la mauvaise soirée, c’était sympa d’échanger qques impressions avec Bibi au stand du Kop.
  
• Sinon j’espère que Sandrine, notre fieffée coquine, a bien su apprécier les 10 joueurs côté FCM hier soir ! Bisous !
  

[Gogol]

LE GET VOSGES S’IMPOSE ENFIN À MULHOUSE (64-59)
Non conservé par le FC Mulhouse en raison de soucis financiers, le Serbe Slobodan Ocokoljic s’est fait un malin plaisir de donner des regrets aux dirigeants haut-rhinois en inscrivant deux gros shoots qui ont donné la victoire au GET Vosges.
VosgesMatin.fr

Le sourire du président Valsésia en disait long au moment du coup de sifflet final. « Enfin ! Cela fait quatre ans que je viens à Mulhouse et c’est la première fois qu’on gagne. Cela fait du bien ! » Quelques mètres plus loin, son coach était sur la même longueur d’onde. Lui non plus n’avait jamais gagné en terre haut-rhinoise. Ni en Nationale 2 ni l’an passé en N1. Et la plupart du temps, les défaites s’étaient transformées en débâcles. Autant dire que Laurent Mathis a apprécié à sa juste valeur le succès empoché au palais des sports de Mulhouse. Où la série victorieuse du GET s’est poursuivie après les succès face à Bordeaux et le CFBB.

Et où Slobodan Ocokoljic s’est rappelé aux bons souvenirs des supporters alsaciens qui l’avaient accueilli l’été dernier avant de le voir passer la ligne bleue pour rejoindre Epinal début octobre en raison de l’impossibilité du FC Mulhouse à le qualifier. La faute à un encadrement de la masse salariale du club haut-rhinois.

Et l’ex-joueur de Caen a tenu à montrer qu’il aurait eu toute sa place dans l’effectif mulhousien. Et pourquoi Laurent Mathis avait tout de suite sauté sur l’occasion de l’enrôler. Car un shooteur serbe reste un shooteur serbe. Même à 35 ans. Et même s’il est en échec aux tirs. Ocokoljic a attendu les dernières minutes pour s’illustrer. Mulhouse était toujours sur les talons du GET. Il restait 4 minutes à jouer. Et deux flèches à 6,75 m trouaient le filet alsacien. Slobodan venait de passer le bonjour au FCM (52-62). « C’est le basket. Mais j’ai eu deux bonnes passes. J’étais en position. Il fallait que je le fasse », avouait après-coup le « sniper ». Qui avait pris la suite de son compatriote Nemanja Marinkovic. Lequel avait tenu le bateau vosgien à flots quand il tanguait fort. Car la régate sur l’autre versant des Vosges n’a pas été un long fleuve tranquille.

Pourtant, contrairement aux visites précédentes, les Vosgiens avaient démarré fort. Tresnak était bien servi dans la raquette et le GET suivait les consignes à la lettre de son entraîneur qui savait que le FC Mulhouse n’avait que 7 « pros » sous la main. « Je voulais qu’on joue ce match sur la longueur. Qu’on fasse courir nos adversaires, qu’on les fasse défendre longtemps et qu’on mette de la vitesse », expliquait Laurent Mathis à la porte du vestiaire.

Marinkovic le héros !
Son groupe prenait la poudre d’escampette (9-19) mais commettait quelques bévues qui auraient pu, sans cela, déjà mettre la tête des Haut-Rhinois sous l’eau (8/21 aux tirs). Et forcément, Mulhouse réagissait dans le second quart-temps. Pour recoller petit à petit. Le GET restait cinq minutes sans marquer et voyait son hôte revenir à 26-25 à la pause. Les Golbéo-spinalo-thoannais n’avaient marqué que trois paniers en dix minutes. Triste.

Et quand Vinson mettait Mulhouse aux commandes (46-45), les fantômes du passé refaisaient surface du côté vosgien. Sauf que Mulhouse n’avait pas le jus nécessaire pour tenir le coup 40 minutes. Et que les Alsaciens arrosaient à qui mieux mieux (1/19 à 3 pts !).

Le GET ne lâchait rien. Et trouvait en Marinkovic le héros du soir. Le Serbe inscrivait 21 points dont 5 tirs primés. Son équipe reprenait les rênes (52-44). Pour ne plus les lâcher. Car les Vosgiens n’avaient pas envie de gâcher une nouvelle opportunité comme ils l’avaient fait contre Sorgues il y a deux semaines. On apprend toujours de ses erreurs. La preuve aussi que le métier rentre.

Ph.N.

[Gogol]

Ca fanfaronne sec chez Vosges Matin!

Mais Houston? We have a problem!

Les Mulhousiens n’ont mené qu’une seule fois, hier soir, au Palais des sports, face à GET Vosges : au retour des vestiaires, grâce à un panier à deux points de Jérémy Bichard (27-26 à la 21e ).

Et quand Vinson mettait Mulhouse aux commandes (46-45), les fantômes du passé refaisaient surface du côté vosgien.

Ts ceux qui étaient au Palais savent qui a raison et pour les autres il y a la feuille de stats!

[ganesh]

Je rejoins gogol sur le match de hier soir
la remarque sur le kop est juste.peut être le fait de jouer un mercredi y est pour quelque chose
même moi j'y étais pas au début du match
par contre on aurais peut être du se lever tous dans le monet time et pas rester assis pépère non?
Je ne sais pas si cela aurais changer quelque chose mais cela aurais été mieux pour mettre la pression sur le get
Bref match a oublier très vite et on passe à la suite
Petite remarque:depuis la blessure de joe(godin)on perd les matchs par manque de rotation
et Anthony n est toujour pas dispo

[Gogol]

Petite remarque:depuis la blessure de joe(godin)on perd les matchs par manque de rotation
et Anthony n est toujour pas dispo

C'est vrai pour Vitré et Blois, moins voire pas du tt pour le GET...
On perd surtout en commencant à jouer apres 7 mins et par un manque d'adresse.
Sans cela et même à 7 et demi, on passe!

[philou68]

Avec 5% de réussite à 3 pts, du jamais vu il suffit d'en faire rentrer 2 de plus pour un taux de 15% qui reste toujours très faible. Mais la réussite était aussi absente à 2pts, à l'image de Darell qui mérite un autre final sur ses shoots au lieu de voir la balle jouer avec l'anneau et ressortir (les gamelles du basket).
Et enfin une entame catastrophique, si on ne marque pas, en défense aussi nous n'étions pas en place. Trop de getistes esseulés qui ont eu tout loisir d'alimenter le score.
Avec un peu de réussite aux tirs, et une meilleure défense au début de rencontre, on passe. Mais le manque de rotation fait très mal.

[Gogol]

BASKET : LE GET VOSGES SAIT SAISIR LES OPPORTUNITÉS QUI SE PRÉSENTENT
Mulhouse était diminué et fatigué ? Qu’importe, le GET Vosges ne s’est pas gêné pour empocher un succès qui le fait basculer dans la bonne moitié du classement. Idéal avant d’enchaîner face à Chartres samedi.

Un petit chiffre pour les historiens du basket. La dernière victoire officielle du GET remontait au 25 avril 2008. C’était déjà en Nationale 1. A l’époque les joueurs de Philippe Maucourant l’avaient emporté sur un petit score (62-52).

Dans la foulée, le FC Mulhouse avait déposé le bilan et était reparti au niveau régional. Espérons que la défaite du club haut-rhinois mercredi soir (59-64) n’ait pas les mêmes conséquences. Et tout cas, elle aura fait le bonheur du GET Vosges qui a enfin vaincu le signe indien en s’imposant sur le parquet alsacien. Mais outre le plaisir de gagner la première manche du derby de l’Est, cette victoire prend surtout beaucoup d’importance en vue de l’opération maintien qui mobilise les deux clubs.

Les Golbéo-spinalo-thaonnais se retrouvent en effet avec un bilan positif (3 succès pour deux défaites) alors qu’ils avaient perdu leurs deux premiers matchs. Laurent Mathis et sa troupe restent donc sur une série de trois succès consécutifs qui les replace dans la première moitié du classement. Et leur enlève forcément un peu de pression. Car ce championnat de N1 prend toutes les allures d’une rivière pleine de piranhas. Où chacun va vouloir manger son voisin.

Après cinq journées, si on met de côté le Centre Fédéral, bien trop faible, il n’y a plus qu’une équipe invaincue (Tarbes-Lourdes) et une seule équipe qui ne compte qu’une seule victoire (Chartres, le prochain hôte du GET). Plus dense que ça, cela n’existe pas !

Il faudra donc savoir saisir toutes les opportunités qui se présentent. Sans état d’âme. Comme mercredi soir à Mulhouse où l’équipe locale ne comptait que sept joueurs « pros » puisque Godin était blessé et que Brown, souffrant d’une hernie discale, n’est toujours pas qualifié auprès de la FFBB en raison de soucis financiers.

Des circonstances atténuantes que rejetait fermement Laurent Mathis après la rencontre. « Si Mulhouse n’a plus que sept joueurs, c’est en grande partie en raison des choix qu’il a faits en début de saison. Des choix que le club alsacien doit assumer » , précisait le coach vosgien.

Qui appréciait encore plus son succès alsacien puisqu’il vient valider l’option qu’il a prise de miser, comme l’an passé, sur un groupe homogène, qui lui permet de parer aux coups durs. Lesquels ne l’ont pas épargné depuis le mois d’août et qui se sont poursuivis mercredi avec la blessure de Benjamin John ( voir ci-dessous ). Le succès à Mulhouse vient aussi valider des options tactiques qui ont eu un impact. Notamment celle de coller Bernard M’Poy aux basques de Mathieu Bigote, le shooteur alsacien. Ce dernier avait pris 16 shoots en moyenne lors des 4 premiers matchs de Mulhouse pour 25 % de réussite. Mercredi soir, il n’en a pris que 10 pour un seul marqué. A la dernière seconde.

« J’ai décidé de couper Bigote de ses partenaires. Ceux-ci ont été contraints de prendre leurs responsabilités. Mais comme ils n’en avaient pas eu l’habitude jusque-là, ils ont eu beaucoup de difficultés à les assumer », explique Laurent Mathis. Et le 1/19 aux tirs à 3 points compilé par les Mulhousiens en apporte la preuve.

Le succès du GET mercredi soir est la résultante de nombreux éléments parmi lesquels figurent les soucis d’effectif alsacien. Mais pas seulement… Et dans six mois, tout le monde aura oublié ce contexte. Pour ne retenir qu’une chose. Les Vosgiens ont empoché un succès et deux points précieux.

Mathis : « Si Mulhouse manque de joueurs c’est en raison des choix qu’il a faits ! »

Ph.N.

[Gogol]

Les Golbéo-spinalo-thaonnais se retrouvent en effet avec un bilan positif (3 succès pour deux défaites)
[...]
Après cinq journées, si on met de côté le Centre Fédéral, bien trop faible

Oui, mais si on met le CFBB de côté, le bilan du GET n'est plus positif, mais nul!
Choisis ton camp, camarade!

[Gogol]

« Si Mulhouse n’a plus que sept joueurs, c’est en grande partie en raison des choix qu’il a faits en début de saison. Des choix que le club alsacien doit assumer »

Bien sûr!
On a choisi d'avoir une masse salariale encadrée, on a choisi que Brown se pête le dos et enfin j'ai personnellement choisi de sauter à pieds joints sur celui de Jo, parce que je me disais que ca serait trop facile sinon...
Soyons sérieux!

[Gogol]

Le FCM sur la corde raide
Les limites de l’effectif mulhousien sont apparues au grand jour, mercredi soir au Palais des sports, où le FCM a concédé face à GET Vosges sa troisième défaite d’affilée (59-64). Les joueurs, contraints depuis le début du championnat à une débauche d’énergie constante pour pallier le manque de rotations, ont craqué.

Si les Mulhousiens n’ont rien eu à se reprocher après les défaites concédées face à Aix-Maurienne puis à Blois, adversaires contre lesquels ils sont tombés avec les honneurs, ils peuvent en revanche beaucoup s’en vouloir après celle enregistrée face à GET Vosges (59-64), mercredi soir au Palais des sports, où ils n’ont jamais montré le niveau de jeu qui était le leur jusqu’à présent.

« Je n’avais encore jamais vu ça » , résume Jamel Benabid en faisant référence à la piètre prestation de ses protégés en attaque (19/62 tirs à 31 % dont 1/19 à trois points à 5 %), qu’il a d’ailleurs un peu de mal à s’expliquer. « Nous avons été en panne d’adresse, alors même que nous avions des shoots ouverts, du début à la fin. Les joueurs ont pris leurs responsabilités étant donné que Mathieu Bigote, notre leader offensif, était ciblé par la défense spinalienne, mais ils n’ont jamais eu la réussite escomptée. Nous avons essayé de trouver des solutions. En vain. »

« Aucune marge de manœuvre »
Les Haut-Rhinois peuvent avoir d’autant plus de regrets qu’ils ont malgré tout été à deux doigts de battre des visiteurs loin d’être au-dessus du lot (23/63 tirs à 37/% dont 7/22 à trois points à 32 %) mais qui ont fini par avoir le dernier mot grâce notamment à leurs deux snipers serbes, Nemanja Marinkovic et Sloboban Ocokoljic. Ce dernier a définitivement scellé le sort de la rencontre en marquant deux paniers longue distance et deux lancers francs en une minute alors que quatre points seulement séparaient les deux équipes lorsqu’il est entré en action. L’ailier fort s’est ainsi rappelé au bon souvenir des dirigeants du FCM - qui l’avaient engagé début juillet avant d’être contraints de s’en séparer, faute de budget - au pire moment, prouvant qu’il aurait eu toute sa place au sein de l’effectif mulhousien.

Que se serait-il passé mercredi s’il était resté dans le club de la cité du Bollwerk ? Impossible à dire. Mais les huit Mulhousiens entrés en jeu auraient en toute logique eu plus de chances de s’en sortir s’il avait été à leurs côtés, ne serait-ce que parce qu’ils auraient disposé d’une rotation supplémentaire. Tout comme ils auraient eu davantage d’atouts dans leur jeu si Anthony Brown et Jonathan Godin, toujours confinés à l’infirmerie, avaient eux aussi été sur le terrain. Ils devront toutefois encore se passer des deux hommes samedi lors de leur déplacement à Quimper, puisque ni l’intérieur ni le meneur ne sont pour l’instant en état de prêter main-forte à leurs coéquipiers.

« Nous n’avons pas le choix. Nous sommes obligés de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Le problème, c’est que nous n’avons aucune marge de manœuvre » , commente un Jamel Benabid plus que jamais conscient des limites de son groupe, lesquelles apparaissent au grand jour et expliquent en partie cette défaite face à un concurrent direct dans la course au maintien - qui ces quatre dernières saisons n’avait jamais eu le dernier mot face au FCM en championnat, que ce soit en N2 ou en N1.

« Nous étions sur la corde raide, physiquement et mentalement, depuis quelque temps déjà » , commente l’entraîneur. « Depuis le début du championnat, les joueurs sont toujours dans la débauche d’énergie pour compenser le manque de rotations. Il n’est donc guère surprenant qu’ils finissent par craquer à un moment ou à un autre. »

« Alléger la charge de travail »
Alors comment vont faire les Mulhousiens qui, contrairement à la saison passée, ne pourront plus recruter pour étoffer leur effectif alors que d’autres équipes se renforcent déjà ? « Nous allons serrer les dents et continuer à bosser. En favorisant la récupération entre les matches. Avec des entraînements un peu plus courts, axés davantage sur la tactique que sur le physique. Nous sommes obligés, pour l’instant en tout cas, d’alléger la charge de travail. Nous allons gérer la situation au mieux : il est de toute façon quoi qu’il arrive hors de question de baisser les bras. »

Heureusement, parce que les joueurs du FCM doivent se reprendre au plus vite après cette troisième défaite consécutive. « Il n’y a pas péril en la demeure » , souligne cependant Jamel Benabid en se voulant rassurant et en rappelant les deux victoires initiales, face à Angers et à Vitré. « J’aurais bien sûr préféré gagner un ou deux matches de plus. Mais notre bilan pourrait être bien pire vu la situation actuelle : nous aurions pu tout perdre, comme la saison passée (Ndlr : le FCM avait dû attendre la septième journée avant de s’imposer enfin). Nous n’avons pas pour autant l’intention de rester sans réagir : nous allons tout faire pour l’emporter samedi à Quimper. »

[thier68]

BASKET : LE GET VOSGES SAIT SAISIR LES OPPORTUNITÉS QUI SE PRÉSENTENT
Mulhouse était diminué et fatigué ? Qu’importe, le GET Vosges ne s’est pas gêné pour empocher un succès qui le fait basculer dans la bonne moitié du classement. Idéal avant d’enchaîner face à Chartres samedi.

Un petit chiffre pour les historiens du basket. La dernière victoire officielle du GET remontait au 25 avril 2008. C’était déjà en Nationale 1. A l’époque les joueurs de Philippe Maucourant l’avaient emporté sur un petit score (62-52).

Dans la foulée, le FC Mulhouse avait déposé le bilan et était reparti au niveau régional. Espérons que la défaite du club haut-rhinois mercredi soir (59-64) n’ait pas les mêmes conséquences. Et tout cas, elle aura fait le bonheur du GET Vosges qui a enfin vaincu le signe indien en s’imposant sur le parquet alsacien. Mais outre le plaisir de gagner la première manche du derby de l’Est, cette victoire prend surtout beaucoup d’importance en vue de l’opération maintien qui mobilise les deux clubs.

Les Golbéo-spinalo-thaonnais se retrouvent en effet avec un bilan positif (3 succès pour deux défaites) alors qu’ils avaient perdu leurs deux premiers matchs. Laurent Mathis et sa troupe restent donc sur une série de trois succès consécutifs qui les replace dans la première moitié du classement. Et leur enlève forcément un peu de pression. Car ce championnat de N1 prend toutes les allures d’une rivière pleine de piranhas. Où chacun va vouloir manger son voisin.

Après cinq journées, si on met de côté le Centre Fédéral, bien trop faible, il n’y a plus qu’une équipe invaincue (Tarbes-Lourdes) et une seule équipe qui ne compte qu’une seule victoire (Chartres, le prochain hôte du GET). Plus dense que ça, cela n’existe pas !

Il faudra donc savoir saisir toutes les opportunités qui se présentent. Sans état d’âme. Comme mercredi soir à Mulhouse où l’équipe locale ne comptait que sept joueurs « pros » puisque Godin était blessé et que Brown, souffrant d’une hernie discale, n’est toujours pas qualifié auprès de la FFBB en raison de soucis financiers.

Des circonstances atténuantes que rejetait fermement Laurent Mathis après la rencontre. « Si Mulhouse n’a plus que sept joueurs, c’est en grande partie en raison des choix qu’il a faits en début de saison. Des choix que le club alsacien doit assumer » , précisait le coach vosgien.

Qui appréciait encore plus son succès alsacien puisqu’il vient valider l’option qu’il a prise de miser, comme l’an passé, sur un groupe homogène, qui lui permet de parer aux coups durs. Lesquels ne l’ont pas épargné depuis le mois d’août et qui se sont poursuivis mercredi avec la blessure de Benjamin John ( voir ci-dessous ). Le succès à Mulhouse vient aussi valider des options tactiques qui ont eu un impact. Notamment celle de coller Bernard M’Poy aux basques de Mathieu Bigote, le shooteur alsacien. Ce dernier avait pris 16 shoots en moyenne lors des 4 premiers matchs de Mulhouse pour 25 % de réussite. Mercredi soir, il n’en a pris que 10 pour un seul marqué. A la dernière seconde.

« J’ai décidé de couper Bigote de ses partenaires. Ceux-ci ont été contraints de prendre leurs responsabilités. Mais comme ils n’en avaient pas eu l’habitude jusque-là, ils ont eu beaucoup de difficultés à les assumer », explique Laurent Mathis. Et le 1/19 aux tirs à 3 points compilé par les Mulhousiens en apporte la preuve.

Le succès du GET mercredi soir est la résultante de nombreux éléments parmi lesquels figurent les soucis d’effectif alsacien. Mais pas seulement… Et dans six mois, tout le monde aura oublié ce contexte. Pour ne retenir qu’une chose. Les Vosgiens ont empoché un succès et deux points précieux.

Mathis : « Si Mulhouse manque de joueurs c’est en raison des choix qu’il a faits ! »

Ph.N.

Quelqu un a une explication concernant la phrase en rouge de cet article....pour ma part on est mal barré si l'info est bonne

[ganesh]

Thiers68 concernant Brown l info de l'article est fausse à moins que l'on nous cache quelque chose

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