Re: [TCdF Finale] vs Montbrison à Bercy : Vainqueur 93-82

par NICO1 Sam 11 Mai - 18:49

enfin rentré de Bercy !!! encore merci a tous ..au joueurs au staf au kop 2001 pour cette magnifique soirée !!!

malheureusement je n'ai pas pu participer de plus pres avec le kop mais meme vu de plus haut c'etait grandiose !!! merci a vous tous !!!

par soeurette Sam 11 Mai - 21:35

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/emissions/jt-1920-alsace

édition du samedi 11 mai 19/20 à 17min40
résumé du match

édition du vendredi 10 mai 19/20 à 10min40
présentation de la finale !!
(petite confusion entre Minté et Grebongo !!)

par soeurette Sam 11 Mai - 22:29

Bien rentrés aussi !
Quel week-end ! Quel match !!
aussi épuisée que si j'avais été sur le terrain !!

mais Laval, Laval, on arrive !!!

par Le Cerbere Dim 12 Mai - 11:18

On a deja la cerise, maintenant aux joueurs de chercher le gâteau, premiere portion à Laval !!!!

par marinette Dim 12 Mai - 11:56

suis je la seule à me revisionner le match?

par philou68 Dim 12 Mai - 14:02

Non pas du tout, mais la fabrication de la vidéo collector, ça prend du temps.

Donc, au menu; le match suivi de l'encars France 3, le tout sur la même vidé d'une durée totale de 2h22'50". Tous les vides inutiles ont été enlevé, comme les 10 minutes de vue du terrain pendant la mi temps. On ne garde que l'essentiel, match, replay, dialogue des speakers et information régionales centrée sur le match.

Je cherche maintenant le moyen de mettre tout cela en ligne pour partage. Pour la taille, je pense que l'on dépassera les 4 Go.

par Gogol Dim 12 Mai - 15:13

Tu la fais en quelle res'?
Histoire que j'adapte celle de Jo'Gr'

par Gogol Dim 12 Mai - 16:13

Le Trophée des guerriers
Auteurs d’un match exemplaire en matière de combativité, vendredi à Paris contre le BC Montbrison en finale du Trophée Coupe de France, les joueurs du Mulhouse Pfastatt BA ont prouvé qu’ils possèdent une sacrée force de caractère. De bon augure à quelques jours de jouer la montée en NM1.
Le 12/05/2019 par Sandrine PAYS - L'Alsace

Jean-Luc Monschau l’avait affirmé quelques heures avant la finale du Trophée Coupe de France : « Nous ne décrocherons la victoire qu’à l’envie et à la sueur de notre front ! » L’entraîneur du Mulhouse Pfastatt BA (NM2), confronté vendredi soir à Paris au BC Montbrison (NM2), ne croyait pas si bien dire. Ses protégés ont dû aller au bout d’eux-mêmes, puiser dans leurs ultimes ressources, pour l’emporter après deux prolongations à l’issue d’un match de toute beauté tant il a été intense de la première à la dernière minute (93-82). Lorsqu’ils ont quitté le terrain, ils avaient le sourire aux lèvres, mais ils étaient littéralement épuisés. « Je n’ai aucun souvenir des cinq dernières minutes » , constatait Quentin Diehl, auteur de paniers cruciaux à ce moment-là. « J’étais dans le rouge total. Je ne pensais plus à rien, si ce n’est à chercher les rebonds, mettre les tirs et les lancers francs. »

Comme ses coéquipiers, le capitaine du MPBA, MVP de la rencontre, a laissé son cœur, ses tripes, et beaucoup de sueur, donc, sur le parquet face à des adversaires au gabarit impressionnant qui ont mené la vie dure aux Alsaciens d’entrée de jeu. Preuve de l’âpreté des débats, de ce chassé-croisé permanent entre deux équipes de guerriers ne voulant rien lâcher, il n’y a jamais eu plus de 11 points d’écart et, surtout, le leadership a changé de main à 16 reprises. « Le match a basculé en notre faveur, mais il aurait tout aussi bien pu basculer en faveur de nos adversaires. Ça s’est joué à la roulette russe ! » , s’amusait Arthur Ekani, comme d’habitude très sollicité (46’41’’ de temps de jeu) et précieux dans la raquette, en reconnaissant avoir été « en mode survie » durant toute la rencontre.

« Waouh ! On l’a fait ! »
Soyons honnête, les joueurs du Mulhouse Pfastatt BA n’ont pas évolué à leur meilleur niveau et se sont eux-mêmes compliqué la tâche en multipliant les pertes de balle - 26 au total - et en manquant d’adresse - 32/81 à 39,5 % -, en particulier à trois points - 11/37 à 29,7 %. Mais là n’est pas l’essentiel. Ils ont par ailleurs fait preuve d’une telle débauche d’énergie, d’une telle générosité dans l’effort, d’une telle pugnacité, d’une telle solidarité aussi qu’ils sont malgré tout sortis vainqueurs de ce combat de tous les instants. « Quand on soulève le trophée, on oublie toutes les erreurs commises en cours de route » , glissait Lucas Plasse, inexistant durant les trois quarts de la partie, mais décisif en fin de rencontre. « Je n’ai pas compris ce qui m’est arrivé. J’étais comme déconnecté de la réalité. Mais j’ai voulu garder la tête haute et je me suis repris. »

Lucas Plasse n’a donc pas boudé son plaisir au coup de sifflet final, pas plus que les autres membres de l’équipe. Les uns et les autres ont d’abord semblé ne pas réaliser ce qu’ils venaient d’accomplir et sont allés saluer les Montbrisonnais. Puis ils se sont lancés dans de grandes accolades, ont fait une petite danse qui ne ressemblait à rien, ont salué leurs supporters, ont retrouvé un semblant de calme au moment de recevoir leurs médailles et de brandir leur trophée avant de repartir vers les tribunes retrouver leurs proches.

« Waouh ! On l’a fait ! » , lâche Johan Grebongo (27 d’éval grâce à ses 18 points, 17 rebonds et 4 interceptions), soulagé. Sorti pour cinq fautes lors de la première prolongation, il a passé les dernières minutes de la rencontre assis sur le banc, son surmaillot relevé sur la tête. « Je ne voulais pas regarder, je n’ai rien suivi tellement j’étais stressé de ne plus être sur le terrain pour aider l’équipe. J’étais à deux doigts de péter un plomb ! J’ai demandé à Marvin de me raconter ce qu’il se passait. »

« Quelque chose de grand »
Marvin Sarkis, justement, était l’un des plus heureux, lui qui a réalisé une très belle prestation, notamment en première période, sous les yeux de Guerschon Yabusele, son pote des Boston Celtics, venu tout spécialement des États-Unis pour l’encourager. « Je ne suis pas très fort pour les longs discours… Je ressens beaucoup d’émotion, de fierté aussi. Nous avons accompli quelque chose de grand. »

Les joueurs du MPBA ont savouré le moment, et fêté leur victoire comme il se doit, mais ils ont gardé leur lucidité, conscients qu’une échéance autrement plus importante les attend dès cette fin de semaine à Laval, où ils entameront les quarts de finale de play-offs décisifs dans l’optique de la montée en NM1. « Ce match contre Montbrison a été un très bon test » , soulignait Arthur Ekani. « Il nous a montré que nous avons encore du pain sur la planche ! » « Nous devons tout de suite nous remettre au travail » , renchérissait de son côté Johan Grebongo. « Le plus dur reste à faire ! »

par Gogol Dim 12 Mai - 18:03

Éliminons d'entrée les 3 bémols du week-end...

L'organisation à la française...
Le Kop avait préparé un petit dossier pour rentrer son matériel, qui avait été validé par la fédé une 10aine de jours avant le match. Arrivé sur place, c'est refusé. D'abord on entend "on n'est pas au courant!" puis sur présentation du mail de la fédé qui confirme que tt est ok "c'est l'aval de la fédé, pas celui de l'AHA (Accor Hotel Arena)"... "Oui, mais c'est écrit que l'AHA est ok!" - "Non, il me faut un mail de l'AHA"...
Moult tergiversation, pour finalement obtenir feu vert... Un Deus Ex Machina venu on ne sait d'où...
Rien de bien grave mais bon...
Hips! Oups...
Chaque joueur et membre du staff a reçu une bouteille de vin (Hips!) de la part du BCM...
Evidemment le MPBA n'avait rien prévu... Ce n'est pas comme si on était dans une région vinicole... Oups!
Tjrs rien de grave...
Un club (d')amateur!
On sait que les joueurs du MPBA ne sont pas des pros. On a aussi la confirmation que le club reste un vrai club d'amateurs!
Johan se coupe pendant le match... Regards désespérés du banc vers le Kop... Pas de sparadrap!
Choc au genou pour Marvin, pas de bombe de froid... Le pauvre est contrait d’utiliser sa bouteille d'eau minérale!
On lance une cagnotte pour acheter une trousse à pharmacie?
Cet amateurisme - à savoir se déplacer mains dans les poches - est bcp plus inquiétant que les 2 points précédents.

Mais Laissons cela!

Quelle soirée! Quel match! Ils rentrent par la grande porte dans la légende du Basket 68/M2A/Pfastatto-Mulhousien!
Ne serait-ce que parce que c'est la première fois que JLM remporte la Coupe de France, malgré un palmarès long comme le bras!

Bcp trop d'émotions, de stress, d'énervement pour avoir un oeil lucide sur le match...
Et à la limite, sur le moment, on s'en fiche! On est là pour vivre un truc, se laisser emporter, en profiter!

D'autant plus que pour une fois, on peut voir/revoir et revoir encore Notre Finale avec une réalisation professionnelle.
Merci à la Fédé, merci Jawed, merci Chad, merci Steve!
Merci aussi au commentateur - qui fait le job, sans faire la fine bouche devant un match amateur - et son consultant bien connu chez nous : Pat Koenig (Pivot au FCM Basket de 99 à 2001)

Et donc après revoyure, on s’aperçoit du match énorme qu'on fait TOUS nos gars.
Evidemment, l'adresse a été dégueulasse et on utilisera à loisir le bon vieux poncif de l'enjeu qui tue le beau jeu...
Mais après 5 grosses mins de match et donc à partir du moment où on arrête de faire les piquets, quelle débauche d'énergie en défense!
La bataille au rebond, la solidarité pour fermer l'accès au panier, le blocage de la ligne de fond, du grand art, du contre et de l'interception!
Personne ne se cache, pas de tire-au-flanc, chacun en prend plein la gueule, mais continue de se battre!

D'ailleurs à partir du moment ou le match devient un duel de défense plutôt que du run n' shoot, le vent tourne, lentement, très lentement, mais il tourne!
Car là où Montbrison rentre 80 points de moyenne par match, ils atteignent bien les 80 points mais après 50 minutes de jeu!
Le seul vrai bémol, c'est les trop nombreuses pertes de balle, dont bcp "à la con"...

Je comprends aussi mieux pourquoi c'est "Good Diehl" qui est nommé MVP : il marque dans presque tous les moments clefs du match! Bien secondé par Marvin au début, Lucas à la fin, qui a su ne pas sortir de son match malgré un départ raté et aussi Johan tout au long de la partie avec un double-double très solide à la clef pour ce dernier (18 points / 17 rebonds).

Il faut aussi noter que personne ne se démobilise quand on prend ce 3 points assassin à l'origine de la 1ère prolong...
Au contraire, ce sont les verts qui craquent dans la seconde prolong'

On les a eus! A l'usure! Mais on les a eus!
Là ou KB avait échoué en 2018, Mulhouse ramène la coupe dans le 68!

La Coupe à la Maison!
[TCdF Finale] vs Montbrison à Bercy : Vainqueur 93-82 - Page 23 TCdF

[TCdF Finale] vs Montbrison à Bercy : Vainqueur 93-82 - Page 23 TCdF

par the voice Dim 12 Mai - 18:51

Merci très bon résumé. Very Happy

par Hautjura Dim 12 Mai - 20:04

Sandrine Pays souligne que cette équipe n'a pas joué à son niveau habituel. Elle l'a pourtant emporté. Deux matchs seulement ont été perdus mais de nombreux (notamment en coupe) l'ont été dans la difficulté. Cette équipe est donc capable de gagner quand tout ne va pas bien et c'est ça le plus important et qui doit donner un capital confiance certain avant le déplacement en Mayenne. Quand un joueur déjoue un autre le remplace (exemple vendredi Plasse Sarkis)
Rien n'est évidemment joué mais il faut aborder ces rencontres avec confiance et envie ce qui ne signifie pas irrespect de l'adversaire. On peut faire confiance à toute la troupe pour appréhender l'événement comme il se doit.

par Le Cerbere Dim 12 Mai - 20:13

Belle analyse de Gogol, comme toujours, on ne retiendra que le vainqueur.
Et c est vrai, ce vendredi soir encore, coup de mou de l'un, permet à un autre joueur de venir dans la lumière.
Bravo les mecs.

par floofy_68 Dim 12 Mai - 21:34

Pas juste Gogol. KB l'a remporté en 2016.

par Gogol Lun 13 Mai - 6:58

Mulhouse-Pfastatt au bout du suspense
FFBB - Le 10/05/2019

Après une double prolongation Mulhouse-Pfastatt a fini par faire craquer Montbrison pour s'offrir le Trophée Coupe de France 93-82.

Comme les féminines plus tôt dans la soirée la finale du Trophée opposait deux équipes aux perspectives différentes. Mulhouse-Pfastatt débutera le week-end prochain les playoffs de NM2 tandis que Montbrison a terminé sa saison le 27 avril dernier. Les Foréziens ont jailli des starting-blocks, forçant Jean-Luc Monschau à stopper la rencontre au bout de trois minutes à sens unique (9-2). Porté par le duo Lionel Gaudoux-Armand Charles, Montbrison allait chercher près du cercle des paniers faciles et lorsque Mulhouse durcissait le ton, au rebond notamment, Rosaire Malonga jouait les pickpockets sur deux montées de balle consécutives. L’écart montait à +10 (24-14) mais plusieurs choix douteux contribuaient à le limiter après dix minutes de jeu (24-20).

Les Alsaciens revenaient sur le parquet avec une dureté retrouvée et seul Charles parvenait à trouver la faille. A 36 ans l’ancien espoir de Cholet aux 15 saisons de Pro B a beau sortir d’une saison blanche, son expérience pèse en Nationale 2. Avec 12 points dans le premier acte il maintient longtemps les siens en tête avant qu’un coup de chaud de Marvin Sarkis ne change la donne. Ses deux tirs primés rééquilibrent les débats et les deux équipes ne se quittent plus jusqu’à la pause (40-40).

Elles vont rester scotchées l’une à l’autre pendant tout le troisième acte. Une période très pauvre offensivement mais sauvée par deux shoots à 6,75 m. Le premier de Sarkis avec la planche, le second d’un Arthur Ekani particulièrement actif. Pas assez cependant pour donner de l’air à Mulhouse-Pfastatt. Leur adversaire d’un soir redonnait la balle à ses intérieurs dans la raquette, Lionel Gaudoux puis Quincy Hankins-Cole s’assurant que le money-time serait irrespirable (61-60, 35’). L’Américain, en grande difficulté sur la finale, obtenait les coups de sifflet qu’il avait désespérément réclamé pendant toute la rencontre et faisait mouche aux lancers-francs (67-63). Le moment choisi par Quentin Diehl pour surgir à deux reprises, imité à 20 secondes du buzzer par Lucas Plasse. A -2, Montbrison avait l'occasion d'envoyer le match en prolongation mais Gaudoux ratait un tir près du cercle. Une deuxième chance s'offrait au BCM quelques secondes plus tard et Rosaire Malonga punissait d'un tir primé plein de sang-froid le choix de Mulhouse de ne pas faire faute à +3.

Cinq minutes supplémentaires marquées par la rage de vaincre d'un Gaudoux intenable et la malice d'un Diehl insensible à la pression. Devant l'impossibilité de les départager, la finale partait pour une deuxième prolongation. Un deuxième acte version small ball dominé par les arrières alsaciens, le duo Plasse-Diehl artillant avec gourmandise au-delà de la ligne primée pour s'offrir le Trophée 2019.

par philou68 Lun 13 Mai - 17:42

Revenons à nos moutons de la vidéo,

Entre temps, j'ai cherché et réfléchi comment faire.
1. Il existe des plateforme d'échange de grands fichiers, mais c'est au moins payant (à l'année) pour celui qui partage. Gratuit pour les downloader, mais à débit très réduits et souvent à 5Go max (la vidéo 1er cru fait 5.8 Go)
2. Entre temps, de nouveaux morceaux sont venus s'ajouter, elle sera donc encore plus grande.
3. Ne serait-il pas idéal de faire comme à l'époque du DVD tournoi des as, mais cette fois sur carte sd (appareil photo) une vidéo collector ? On trouve des cartes à 7€ sur le net --> prix de vente pour la caisse du kop 10€ ou 15€, au CA de discuter.

Je vous laisse le soin de débattre moi je retourne à la conception

P.S.: Pour Gogol, c'est du Full HD (1920/1080).

par marinette Lun 13 Mai - 19:05

philou68 a écrit:Revenons à nos moutons de la vidéo,

......
3. Ne serait-il pas idéal de faire comme à l'époque du DVD tournoi des as, mais cette fois sur carte sd (appareil photo) une vidéo collector ? On trouve des cartes à 7€ sur le net --> prix de vente pour la caisse du kop 10€ ou 15€, au CA de discuter.

j'allais poser la question Smile

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